L'envoyons le vie 27
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Surcots ou surcots médiévales. Ils sont des tuniques sans manches. P>
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Le survêtement est une tunique sans manches que les chevaliers portaient sur la cotte de mailles ou sur l’armure au Moyen Âge. Cette pièce se caractérisait par ses couleurs vives et était généralement ornée des blasons du chevalier qui la portait. Le type de tissu et la décoration montraient la puissance et l’influence du chevalier qui la portait.
De plus, sur le champ de bataille, il pouvait s’avérer un butin juteux et prestigieux. Sa fonction principale était d’éviter que l’armure soit trop exposée aux éléments, ce qui améliorait sa durabilité.
Cependant, avec l’apparition des armures en plaques, vers le XVe siècle, la survèse tomba en désuétude. Dans le cas des femmes, pendant le Moyen Âge, les suites étaient utilisées comme uniforme de travail ou, dans le cas des nobles, comme preuve de pouvoir et de prestige. Toutefois, ce dernier cas était moins fréquent que celui des hommes.
Des ordres religieux comme les Templiers, les Chevaliers de Malte ou les Teutons étaient facilement reconnaissables par les survols qu’utilisaient leurs membres. Les guerriers de ces ordres, des chevaliers chrétiens dédiés à la propagation ou à la défense de la foi chrétienne, portaient leurs symboles les plus significatifs sur le survêtement.
Aussi à la cour médiévale, rois et nobles s’efforçaient de présenter leurs blasons dans ce type de pièces. Il y en avait tant pour le combat que pour le gala, utilisées pour les fêtes et les banquets. Des rois comme Robert Ier d’Écosse ou Henri V d’Angleterre sont quelques-uns des monarques dont on se souvient pour leurs survols, ainsi que des nobles comme le prince de Galles.
Tous ces vêtements sont caractérisés par une taille large, de sorte qu’ils sont ajustés avec une ceinture de largeur différente. Quant aux formes du cou, elles étaient généralement en bec et en rond. Les plus luxueuses étaient accompagnées d’une pièce de tissu qui ornait le cou.
Toutes les survols sont dépourvus de manches pour faciliter la mobilité des soldats en cotte de maille ou en armure. La longueur de ces pièces de tissu pouvait varier, mais les plus communes étaient celles de taille basse (presque par les chevilles) et celles de taille haute (au-dessus des genoux), plus confortables au combat.
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