Le bassinet médiéval a commencer à s’utilisé au XIIIème siècle, étant l’évolution du heaume conique pour protéger les côtés de la tête et de la nuque, mais la figure reste exposée. Il était plus léger que le heaume. Vers la moitié du XIVème siècle on équipait le bassinet d’une visière mobile qui était fixée au frontal du heaume avec une superficie extrèmement anguleuse pour contrer les coups du fil tranchant d’une épée ou de la pointe.
Les orifices de ventilation étaient toujours situés en général du côté droit du casque afin de ne pas facilité l’entrée d’une pointe de lance ou le pique d’un marteau de guerre. Au moyen de charnières ils pouvaient se démontés et utiliser seulement le bassinet si l’occasion se présentait. Pour tel fin, les goupilles étaient pourvues de petites chaines fixées à la visière, de manière à ce qu’elles ne s’égarent pas.
Il convient de réparer les fentes de la visière. comme on le voit, elles sont disposées en formant un angle vers le bas par les extrémités, ainsi comme une orientation vers le haut de manière que son porteur, pour regarder de face, devait incliner un peu la tête vers l’avant. Ce design était conçu pour difficulter l’entrée de tout objet pointu dirigé vers la figure. Si une pointe de lance ou une flèche frappait contre la visière et, dû à sa conformation, était déviée vers le haut, elle ne pouvait pas entrer et blessé les yeux. Afin d’évité cette possibilité, il y avait des modèles qui comptait avec des barres honrizontales sur les fentes de la visière qui elles étaient verticales.
D’un autre côté et considérant sa largeur, toujours inférieure à 1cm généralement, son champ de vision était très limité. D’où son inclination vers le bas, offrant une “expression” triste à la visière, bien que de cette manière on pouvait avoir un peu plus d’angle de visibilité latérale et inférieure. La position naturelle portant le bassinet oblige à regarder vers le bas. Ainsi-même, si l’utilisateur penche la tête vers l’arrière dû à un coup, la possibilité de que quelque chose entre par la visière diminue encore plus. Le champ visuel que disposait un bassinet était minime.
Le point faible du bassinet était que un coup bien donné, l’enfoncerait sur la bouche ou la mâchoire inférieure de son porteur, ou qui rebondissent vers le bas en frappant la gorge. Vers 1380, se sont perfectionnés encore plus les pourvoyants d’une gola (comme une fraise de costume d’époque) qui faisait que le poids du bassinet reposait sur les épaules au lieu de tête ou du cou; et la forme pointue de la visière a été remplacée par une avec une forme ronde. Également, les disques latéraux ce sont ampliés pour une protection majeure.
L’intérieur du bassinet disposait d’une garniture de cuir matelassé avec de la soie, du lin ou du coton qui, similairement avec celles des actuels casques millitaires, pouvait se réguler en fonction de la tête de son utilisateur et aidait à amortir les coups donnés sur la tête avec des armes contondantes. Un bassinet complet, avec visière et camail, atteignait les 7,2 kg de poids, plus en avant ce sont fabriqués avec du métal plus léger et le poids ne dépassait pas les 4 kg .
